21 septembre 2004
Aux chiottes l'arbitre, son chien et ma grand-mère
Je me réveillais paisiblement ce matin la tête tassée dans l'oreiller. Quelques rayons de soleil filtraient au travers des rideaux, l'odeur du café me montait aux narines, la radio égrénait ses nouvelles de merde, toutes plus désastreuses ou inutiles...